Chers (es) et adhérents (es),
L'A3C, qui défend les intérêts des copropriétaires, a décidé de saisir son conseil, Me Frédéric Leclerc du cabinet In'Nova à Perpignan, afin de mettre en demeure l'ASLIC et son président de répondre aux demandes maintes fois exprimées et restées sans réponse. Il est temps de mettre fin à certains agissements et à un autoritarisme insupportable de l'ASLIC et de son président.
Depuis plusieurs années, la gestion de l'ASLIC est source de mécontentement parmi les copropriétaires, en raison d'une direction insensible aux critiques et d'une organisation qui ne répond plus à nos besoins. Les cotisations que nous payons ne sont pas en adéquation avec la gestion du site de la Coudalère, et les services fournis (entretien des espaces communs, piscine, sécurité, propreté, etc.) sont loin de satisfaire la majorité des copropriétaires.
Certaines activités, telles que la vente de goodies, l'installation d'une pergolas, le projet de base nautique, les animations et la gestion d'une application smartphone pour ces animations sont source de gaspillages et détournent l'ASLIC de ses missions principales.
De plus, l'opacité de la gouvernance et les pratiques autoritaires du président de l'ASLIC accentuent le mécontentement des propriétaires, comme le reflète l'A3C. Il est inacceptable de continuer à payer des charges en constante augmentation sans pouvoir s'exprimer sur l'utilisation de ces financements.
Lors de la dernière assemblée générale du 18 juin 2024, de nombreuses anomalies comptables ont été relevées, conduisant à l'invalidation des comptes de l'année 2023. Nous avons également constaté des pratiques douteuses du président de l'ASLIC, qui fait adopter des dispositions favorables à ses intérêts personnels sans contrôle de gestion. Ces manquements aux principes de transparence permettent à la direction de prendre des décisions sans consultation préalable des copropriétaires.
Face à ce mécontentement persistant, l'ASLIC et son président restent silencieux et sourds à toute demande d'amélioration de la gouvernance. Les comptes 2023 n'ont toujours pas été régularisés, et des sommes indûment payées n'ont pas été remboursées. Lors de la réunion du Syndicat de l'ASLIC du 4 octobre dernier, des entorses aux modalités statutaires de représentation ont permis l'adoption de règles favorisant encore une fois le remboursement de frais au président.
Nous vous tiendrons informés des suites de cette démarche, en espérant qu'elle permettra de débloquer une situation qui perdure depuis trop longtemps.
Amicalement vôtre.