Cette réponse a été mise en ligne sur le site Propriétaires/Owners Cap Coudalère en réponse à un post de l'Aslic sur les espaces verts.
Interpellé récemment, par un propriétaire, sur l'entretien d'espaces verts en proximité des résidences Martinique 2 et 3 (rue Haïti), un responsable de l'ASLIC n'a rien trouvé de mieux que d'inviter ce monsieur à prendre lui-même l'attache des services de la commune du Barcarès ou de s'adresser à notre déléguée de quartier, Mme BENTZ,.
De toute évidence, il n'était pas dans l'esprit du représentant de l'ASLIC d'apporter, ici, une meilleure réponse au besoin exprimé par ce propriétaire et membre de l'ASLIC.
Il n'était pas non plus question que ce responsable assure sa pleine responsabilité avant de communiquer une mauvaise réponse.
Car si le représentant de l'ASLIC a certainement pris la peine de se pencher plus longuement sur la convention établie en juin 2023 entre l'ASLIC et la Mairie du Barcarès, qui prévoit les modalités de répartition de l'entretien du site de la Coudalère, il aurait constaté que la dite convention était signée du Président de l'ASLIC et qu'il appartient donc à cette dernière de veiller au respect de ses clauses et non pas à un propriétaire de s'en charger.
Dans le même registre, cette convention comporte par son article 3, une disposition favorable à l'ASLIC au moyen d'une compensation annuelle de 50 000 € T.T.C. sous la forme d'investissements de confort et d'embellissement du quartier ou de prestations extérieures (terrain de beach-volley, vingt cendriers repartis en accord avec le Directeur de I'ASLIC ainsi que la taille de certains grands arbres). Depuis bientôt 2 ans, l'ASLIC n'a jamais bénéficié de ces prestations. Est-ce, là aussi, à un propriétaire à s'en inquiéter aujourd'hui ?
Et comme fuir ses responsabilités à l'égard d'un propriétaire ne suffisait pas, le responsable de l'ASLIC a cherché à se dédouaner sur la déléguée de quartier, la, désignant comme interlocutrice privilégiée pour prendre en charge l’inexécution de la convention signée avec la commune...
Rappelons que notre déléguée de quartier remplit une mission bénévole d'interface entre l'habitant et la mairie. En aucune manière, elle ne peut s'immiscer dans le cadre d'un contrat visant la commune et une collectivité privée comme l'ASLIC, signataire d'une convention de partenariat.
Il serait peut être temps que l'ASLIC assure ses responsabilités et corrige ce type de problèmes qu'il n'appartient pas aux propriétaires de régler ! L'ASLIC doit respecter ses engagements contractuels et ceux qui ont été établis à son profit.
Il serait donc souhaitable que notre site bénéficie, enfin, des 50 000 € de prestations annuelles promis par la Mairie !